j’ai toujours eu l’ambition de créer quelques choses d’artistiques, mais tout ce que je produisais partait à la poubelle.
Lors d’un week-end « bricolage », je m’amuse sur ma table avec des pitons et des crochets, je trouve le résultat intéressant et je prends une photo.

Au bout de quelques jours, j’achète un sachet de pitons et je construis un assemblage sur du papier coloré .
Ça me plaît bien, je tourne autour pendant quelques jours, ça ne donne rien en photo, je cherche une autre technique pour tirer quelque chose du « machin ».
Comment faire une empreinte ?

Solution : le pochoir !
Je vaporise du colorant en produisant un positif/négatif. J’essaye 2, 3 fois en utilisant un pulvérisateur à plante et du colorant universel.
Verdict : ça coule, ça bave, ça gondole, je détruis mon pulvérisateur, mais ça me plaît.
I spray dye producing a positive/negative. I try 2, 3 times using a plant sprayer and universal dye.
Verdict: it runs, it drools, it warps, I destroy my sprayer, but I like it.


Quand j’ai commencé à maîtriser la technique, j’ai ébauché les premiers assemblages.


Etonné du résultat, je me suis mis à chercher un nom pour ce projet.
En mélangeant piton, pictogramme, photogramme (inspiration Man Ray), je suis arrivé à « Pitongramme ».
J’ai nommé la première série 360°, parce qu’elle n’a pas de sens défini.
C’est un travail en plan (à plat), du coup, on peut tourner autour.
Amazed by the result, I started looking for a name for this project.
By mixing piton, pictogram and photogram, I arrived at « Pitongramme ».
I named the first series 360°, because it has no definite meaning.
It’s a flat work, so you can turn around it.


